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Recenzii
Contribuiți la feedbackUne belle table, sur laquelle nous sommes arrivés par hasard. L'endroit est intimiste, charmant, bien décoré. Le personnel qui nous a servi est agréable et professionnel. Quant à l'assiette... bien dressée, bien exécutée, tout y est. Le confit d'agneau est un délice. Le coquelet en croûte est vraiment pas mal. Les pâtisseries, sublimes et bonnes. Petit bémol à une serveuse, qui nous a parlé sur un ton très sec, parce que l'on avait du mal à ouvrir la porte des toilettes à cause d'une poignée cassée ;)
Une belle découverte pour ce très bon restaurant. Les plats sont de très bonne qualité, les desserts délicieux et originaux, le service rapide et efficace. Le rapport qualité/prix reste correct. Je recommande sans hésitation !
Un restaurant où le coquelet en croute est divin. Le service est rapide et souriant. L'addition est justifiée. N'oubliez pas de réserver par téléphone.
Un accueil chaleureux malgré l'heure tardive (14h). Sympathique, et prévenant même pour notre épagneul breton.Le service a été rapide efficace.Les plats très bons et raffinés. Je recommande cet établissement pour sa qualité mais aussi.piyr son service.
"Ça sent l'artiste à cette table" est l'une des répliques du film de Claude Zidi, dont l’établissement L’aile ou la cuisse tire son nom. Cette réplique correspond, de plus, très bien à la cuisine préparée et servie dans ce restaurant.Arrivés sans réservation, nous avons été accueillis en plein rush par le chef de rang (sauf erreur) de manière très souriante et accommodante. Une table nous a été trouvée et nous nous sommes installés dans une grande salle à l'ambiance bistrot : mobilier en bois, grand bar dans la salle, déco style Belle Epoque avec ses grands miroirs encadrés de moulures exubérantes et dorées. La salle et la terrasse du fond doivent compter un peu plus de 60 places. C'est certes un peu bruyant mais les lieux, malgré la haute fréquentation, sont bien aérés, le confort n'étant pas altéré.Les prix à la carte peuvent être élevés, néanmoins les plats sont cuisinés de manière originale, sortant ainsi l'établissement d'une étiquette trop imprégnée de cuisine simple type "bistrot parisien" : par exemple, le tataki de canard au gingembre ou le coquelet en croûte cuit au foin, dont il semblerait que ce soit la spécialité du restaurant.Vous est offerte, une assiette de croûtons sur lesquels peut être étendue de la tapenade d'olives noires, indiquant immédiatement la volonté provençale des lieux. L'eau en carafe est apportée dans une belle bouteille design, rompant le cadre très traditionnel du mobilier de la salle. En somme, une identité affirmée cherchant à se démarquer.J'ai pris la formule plat-dessert à 19,90 € (la formule complète étant à 26,90 €). Le plat était une assiette du pêcheur : du cabillaud aux lentilles et aux petits légumes. Servi bien chaud et en quantité suffisante, le poisson un peu grillé apportait un fumé supplémentaire à celui des lentilles. De plus, du fenouil haché, dont je ne suis pourtant pas fan, disséminé discrètement sur la peau grillé du cabillaud, apportait une amertume bienvenue, éveillant ainsi les papilles. Enfin, le plat n'avait rien de sec puisque le jus de poisson et trois tomates cerises jouaient le rôle d'assaisonnement au fond de l'assiette.Mon épouse a commandé l'assiette fraîcheur terre-mer à 17,90 €, composée de deux belles gambas décortiquées au milieu (donc présentées avec intelligence, comme tous les plats, puisque les ingrédients sont déposés et non entassés anarchiquement), d'un croustillant au chèvre, de poulet, de salade verte hachée, d'un œuf mollet à la température idéale et d'avocat. Une fois le croustillant mangé, il reste du croquant avec la présence d'un concassé de cacahuète (ou de pistache), cassant ainsi la souplesse des autres ingrédients. Par ailleurs, la sauce était faite au miel.La vaisselle noire ou l’ardoise pour les desserts sont des éléments en parfait décalage avec lieux de par leur modernité et leur côté lounge.Mon épouse ayant commandé un café qu'elle a trouvé fort bon, je me suis penché sur l'une des quinze pâtisseries maison présentées en vitrine, et qui sont l'un des éléments identitaires de l'Aile ou la cuisse. J'ai pris le gâteau au chocolat 82%, monté sur une tablette de praliné et surmonté de petites boules crémeuses à la noisette. Là encore, le mélange des textures en bouche est réfléchi puisque les dents traversent toutes les couches successives de chocolat et de noisette avant de craquer le praliné.Si l'on peut reprocher à cet établissement de ne pas proposer de café ou de thé gourmand, il n'y pas grand-chose d'autre à redire. Cuisine, accueil et service sont efficaces, le client repart rassasié, surtout s'il prend le fameux coquelet que nous avons vu passer sur la table voisine.
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